• Mar 11, 2024
  • 2 minutes

Morocco has awarded a Saudi International Company for Water and Power (ACWA)-led group a $1 billion contract for the construction of a solar power plant in southern Morocco, as the country expands its clean energy sector.
The agreement sees a consortium made up of ACWA, and two Spanish companies- ARIES IS, and TKK EE, who will own a 5 percent stake between them– win the contract to build a 160-megawatt solar power plant at an estimated cost of $1 billion. The plant will be located in the south of the Morocco, on 2,500 hectares of land near the desert-bordering town of Ouarzazate.
It is expected that construction will begin almost immediately, by the end of 2012, with completion of the plant and start of production billed for the end of 2014.
The contract refers to phase one of the Ouarzazate project, as it is hoped that operations at the plant will be increased in a second, later phase of development, in order to eventually achieve a production of 500-megawatts.
Tenders for the contract were judged by the Moroccan Solar Energy Agency, which finally selected the ACWA-led consortium over three other strong contenders. Mustapha Bakkoury, head of the Agency, announced the final decision and explained that the Saudi team had put forward the “best technical and financial offer”. ACWA has priced its offer at 1.62 dirhams ($ 0.18) per kilowatt/hour produced, as compared to competing tenders of 2.05 dirhams ($0.23).
This contract comes as part of a Moroccan government initiative known as the Moroccan Solar Plan, that hopes to see the resource-poor country’s clean energy sector boom over the coming years with the ultimate aim of exporting surplus energy to Europe. It is hoped that solar energy production will reach 2,000 megawatts by 2020, accounting for over 38 percent of the country’s energy consumption; with related plans in the pipeline to double this figure through the creation of wind-power plants off the coast of Morocco.
The Solar Plan stipulates the building of five solar power plants in the southern region of Morocco, with the government estimating costs of $9 billion to achieve the 2,000 megawatt production-capacity goal by 2020. Competition for contracts to build the remaining four power plants is scheduled to be opened before the end of the year.
The current project will be financed through a range of sources, including loans from the World Bank, the European Investment Bank, and the African Development Bank, and grants from the European Commission and the German government.

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(Afrik.com) Après avoir remporté le poste de secrétaire général du parti de l’Istiqlal, Hamid Chabat veut désormais mettre un terme au gouvernement Benkirane I. L’élection de Hamid Chabat à la tête du parti de l’Istiqlal va probablement changer la donne au sein du gouvernement d’Abdelilah Benkirane. La politique marocaine pourrait bien donner naissance dans les prochaines semaines, voire les prochains mois, au gouvernement Benkirane II. En tout cas, Hamid Chabat, par ailleurs député-maire de Fès et secrétaire général de l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM), a bel et bien l’intention de proposer un remaniement ministériel. D’après lui, une telle action ne doit pas être considérer comme « un mauvais pas ou quelque chose de négatif ». Il entend surtout redonner aux femmes une « certaine égalité vis-à-vis de la femme (…) et une représentativité des provinces du Sud » au sein du gouvernement, a-t-il déclaré lors d’une interview accordée à L’Economiste. « Quant à nos ministres, il faut reconnaître qu’à l’image de tout le gouvernement, leur rendement reste faible », a-t-il ajouté. Placer des ministres productifs Même si Chabat affirme le contraire, il existe au sein du parti certaines rivalités, notamment avec le clan El Fassi. Lors de la formation gouvernementale par Abdelilah Benkirane, Hamid Chabat a proposé de placer des membres de son clan à des postes ministériels. Abbas El Fassi, alors secrétaire général de l’Istiqlal, et le comité exécutif du parti, ont rejeté sa demande. A la place, ce sont des proches de l’ancien secrétaire général qui ont été promu au rang de ministre. Cette anecdote, Chabat ne l’a pas oublié. Il affirme vouloir proposer des ministres « qui descendent sur le terrain ». Le comité exécutif subira lui aussi un remaniement. Désormais, quatre sièges seront réservés à la Jeunesse istiqlalienne, dont le secrétaire général n’est autre qu’Abdelkader El Kihel, un proche de Hamid Chabat. Il fait d’ailleurs parti des personnes que Chabat voulait placer au sein de l’exécutif. Six places seront attribuées aux femmes, et seize autres sièges pour le reste des membres. Certains considèrent qu’il s’agit là d’un jeu politique instauré par Chabat. La loi de finances est une priorité pour Benkirane. Prendra-t-il le temps de discuter d’une éventuelle répartition des portefeuilles ministériels ? Chose certaine, Chabat fera tout pour y parvenir. D’une part pour continuer son combat contre l’oligarchie du clan El Fassi, mais aussi pour récompenser ceux qui l’ont soutenu durant sa campagne. En faisant pression, le secrétaire général de la deuxième force politique du royaume n’a pas le droit à l’échec. Hamid Chabat devra convaincre tout d’abord Benkirane qu’un remaniement au sein de son gouvernement s’impose. Le chef de l’exécutif devra avoir reçu le feu vert du roi. A l’instar du gouvernement Youssoufi I et II, Jettou I et II et El Fassi I et II, Chabat souhaite un Benkirane II. Un remaniement pourrait donc voir le jour en 2013, une fois le projet de loi de finances validé.

  • 11 Marzo 2024
  • 2 minutes

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