• Mar 11, 2024
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Il 19 settembre è stato firmato l’accordo di partnership tra ISCOS Marche e l’associazione AMDH (Associazione Marocchina per i diritti umani) per la realizzazione di un progetto di formazione su diritti economici e sociali da tenersi in Marocco entro la fine dell’anno.
L’accordo segnala un punto di svolta nella collaborazione tra i due partner, che desiderano operare congiuntamente per promuovere i diritti umani, economici, sociali e culturali all’interno del mondo lavorativo locale. Il corso di formazione sarà offerto a cento partecipanti attivi nelle dinamiche sindacali e nella promozione dei diritti umani in Marocco, con l’obbiettivo di attivare la società civile nella promozione dei diritti umani, economici, sociali e culturali. Particolare attenzione sarà riposta all’uguaglianza di genere.
 
L’associazione AMDH, fondata nel 1979, e punto di riferimento nella lotta per il riconoscimento dei diritti umani, conta circa ventiduemila volontari dislocati in sedi che coprono tutto il territorio nazionale ed è federata con numerose altre associazioni promotrici dei diritti umani nel bacino del Mediterraneo. L’AMDH opera su tre livelli, l’educazione ai diritti umani, la formazione sui diritti umani per chi opera nel settore, e la difesa dei diritti umani attraverso il monitoraggio delle violazioni.
Il suo propulsore principale risiede nel coinvolgimento della società civile e nella denuncia degli episodi di violazioni dei diritti umani. L’associazione, oggi, si distingue in maniera particolare nella promozione e protezione dei diritti delle donne, e al momento attuale è impegnata in maniera persistente nell’abrogazione della legge 475 del codice penale, che legittima il decadere delle accuse di violenza sessuale nel momento in cui vi sia un matrimonio tra il violentatore e la vittima
(link in francese http://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/03/24/le-suicide-qui-bouleverse-la-societe-marocaine_1675191_3212.html
in inglese http://www.huffingtonpost.com/2012/03/14/amina-filali-morocco-rape_n_1345171.html ).
 
Questo accordo sigla l’attivazione di un primo intervento in partnership con Iscos Marche, della durata di alcuni mesi e, in linea teorica, potrebbe essere complementare ad una fase successiva (qualora le risorse finanziarie siano disponibili), consistente in un intervento più capillare ed esteso in nove differenti regioni del Marocco.
 
Iscos Marche ha stabilito, nonostante la crisi economica odierna, di impegnarsi in prima linea per svolgere attività di cooperazione sull’altra sponda del Mediterraneo, per intensificare le relazioni di collaborazione con gli enti locali e per razionalizzare un intervento di cooperazione allo sviluppo anche alla luce dei recenti sviluppi nella Regione.
È nell’interesse di Iscos Marche e del Marocco cercare una connessione forte tra i due paesi rispetto alle tematiche dei diritti del lavoro, dei diritti sociali ed economici, anche a fronte dell’elevato numero di lavoratori di nazionalità marocchina oggi presenti in Italia.

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(Afrik.com) Après avoir remporté le poste de secrétaire général du parti de l’Istiqlal, Hamid Chabat veut désormais mettre un terme au gouvernement Benkirane I. L’élection de Hamid Chabat à la tête du parti de l’Istiqlal va probablement changer la donne au sein du gouvernement d’Abdelilah Benkirane. La politique marocaine pourrait bien donner naissance dans les prochaines semaines, voire les prochains mois, au gouvernement Benkirane II. En tout cas, Hamid Chabat, par ailleurs député-maire de Fès et secrétaire général de l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM), a bel et bien l’intention de proposer un remaniement ministériel. D’après lui, une telle action ne doit pas être considérer comme « un mauvais pas ou quelque chose de négatif ». Il entend surtout redonner aux femmes une « certaine égalité vis-à-vis de la femme (…) et une représentativité des provinces du Sud » au sein du gouvernement, a-t-il déclaré lors d’une interview accordée à L’Economiste. « Quant à nos ministres, il faut reconnaître qu’à l’image de tout le gouvernement, leur rendement reste faible », a-t-il ajouté. Placer des ministres productifs Même si Chabat affirme le contraire, il existe au sein du parti certaines rivalités, notamment avec le clan El Fassi. Lors de la formation gouvernementale par Abdelilah Benkirane, Hamid Chabat a proposé de placer des membres de son clan à des postes ministériels. Abbas El Fassi, alors secrétaire général de l’Istiqlal, et le comité exécutif du parti, ont rejeté sa demande. A la place, ce sont des proches de l’ancien secrétaire général qui ont été promu au rang de ministre. Cette anecdote, Chabat ne l’a pas oublié. Il affirme vouloir proposer des ministres « qui descendent sur le terrain ». Le comité exécutif subira lui aussi un remaniement. Désormais, quatre sièges seront réservés à la Jeunesse istiqlalienne, dont le secrétaire général n’est autre qu’Abdelkader El Kihel, un proche de Hamid Chabat. Il fait d’ailleurs parti des personnes que Chabat voulait placer au sein de l’exécutif. Six places seront attribuées aux femmes, et seize autres sièges pour le reste des membres. Certains considèrent qu’il s’agit là d’un jeu politique instauré par Chabat. La loi de finances est une priorité pour Benkirane. Prendra-t-il le temps de discuter d’une éventuelle répartition des portefeuilles ministériels ? Chose certaine, Chabat fera tout pour y parvenir. D’une part pour continuer son combat contre l’oligarchie du clan El Fassi, mais aussi pour récompenser ceux qui l’ont soutenu durant sa campagne. En faisant pression, le secrétaire général de la deuxième force politique du royaume n’a pas le droit à l’échec. Hamid Chabat devra convaincre tout d’abord Benkirane qu’un remaniement au sein de son gouvernement s’impose. Le chef de l’exécutif devra avoir reçu le feu vert du roi. A l’instar du gouvernement Youssoufi I et II, Jettou I et II et El Fassi I et II, Chabat souhaite un Benkirane II. Un remaniement pourrait donc voir le jour en 2013, une fois le projet de loi de finances validé.

  • 11 Marzo 2024
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