• Mar 11, 2024
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(Ventures-Africa)
High-spending Morocco secured a $300 million World Bank loan to tackle youth unemployment and boost gender equality, extending a run of international borrowing as it battles fallout from the euro zone crisis.
The finance ministry said on Wednesday the funds would feed into a social development plan that aims to fight uneven access to basic amenities and the marginalisation of women and the country’s youth.
Youth unemployment stands at over 30 percent while illiteracy among women is above the national average and rises to as high as 80 percent in rural areas. Close to a quarter of the 33 million population live in poverty, according to state planning authority HCP.
The country’s central bank expects the North African state’s economy to grow by just 2-3 percent this year, one of the lowest rates of the past decade. The government is also struggling to tame a budget deficit that last year hit its highest level since the 1990s.
The well-being of the $95-billion economy is closely linked to the euro zone. The debt turmoil there has hit Morocco’s tourism revenues, remittances from workers abroad and foreign investments this year, raising concerns about the country’s current account balance.
On Tuesday, the Abu-Dhabi based Arab Monetary Fund (AMF) said it was arranging a $127 million credit facility for Morocco, a loan which officials in Rabat said would help cushion a rising trade deficit.
Earlier this month, the African Development Bank (AfdB) approved $800 million in loans to support Morocco’s renewable energy programmes.
Investment grade-rated Morocco also plans to sell a sovereign bond worth $1 billion in October to help finance budgeted investments.
In August, the International Monetary Fund (IMF) awarded Rabat a $6.2 billion precautionary credit line to support the current account balance when needed.
Morocco has budgeted 20 billion dirhams of foreign borrowing needs for 2012 in addition to 40 billion dirhams to be borrowed from the domestic market.
The country closed 2011 with a public debt to Gross Domestic Product (GDP) ratio of 52.9 percent.

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(Afrik.com) Après avoir remporté le poste de secrétaire général du parti de l’Istiqlal, Hamid Chabat veut désormais mettre un terme au gouvernement Benkirane I. L’élection de Hamid Chabat à la tête du parti de l’Istiqlal va probablement changer la donne au sein du gouvernement d’Abdelilah Benkirane. La politique marocaine pourrait bien donner naissance dans les prochaines semaines, voire les prochains mois, au gouvernement Benkirane II. En tout cas, Hamid Chabat, par ailleurs député-maire de Fès et secrétaire général de l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM), a bel et bien l’intention de proposer un remaniement ministériel. D’après lui, une telle action ne doit pas être considérer comme « un mauvais pas ou quelque chose de négatif ». Il entend surtout redonner aux femmes une « certaine égalité vis-à-vis de la femme (…) et une représentativité des provinces du Sud » au sein du gouvernement, a-t-il déclaré lors d’une interview accordée à L’Economiste. « Quant à nos ministres, il faut reconnaître qu’à l’image de tout le gouvernement, leur rendement reste faible », a-t-il ajouté. Placer des ministres productifs Même si Chabat affirme le contraire, il existe au sein du parti certaines rivalités, notamment avec le clan El Fassi. Lors de la formation gouvernementale par Abdelilah Benkirane, Hamid Chabat a proposé de placer des membres de son clan à des postes ministériels. Abbas El Fassi, alors secrétaire général de l’Istiqlal, et le comité exécutif du parti, ont rejeté sa demande. A la place, ce sont des proches de l’ancien secrétaire général qui ont été promu au rang de ministre. Cette anecdote, Chabat ne l’a pas oublié. Il affirme vouloir proposer des ministres « qui descendent sur le terrain ». Le comité exécutif subira lui aussi un remaniement. Désormais, quatre sièges seront réservés à la Jeunesse istiqlalienne, dont le secrétaire général n’est autre qu’Abdelkader El Kihel, un proche de Hamid Chabat. Il fait d’ailleurs parti des personnes que Chabat voulait placer au sein de l’exécutif. Six places seront attribuées aux femmes, et seize autres sièges pour le reste des membres. Certains considèrent qu’il s’agit là d’un jeu politique instauré par Chabat. La loi de finances est une priorité pour Benkirane. Prendra-t-il le temps de discuter d’une éventuelle répartition des portefeuilles ministériels ? Chose certaine, Chabat fera tout pour y parvenir. D’une part pour continuer son combat contre l’oligarchie du clan El Fassi, mais aussi pour récompenser ceux qui l’ont soutenu durant sa campagne. En faisant pression, le secrétaire général de la deuxième force politique du royaume n’a pas le droit à l’échec. Hamid Chabat devra convaincre tout d’abord Benkirane qu’un remaniement au sein de son gouvernement s’impose. Le chef de l’exécutif devra avoir reçu le feu vert du roi. A l’instar du gouvernement Youssoufi I et II, Jettou I et II et El Fassi I et II, Chabat souhaite un Benkirane II. Un remaniement pourrait donc voir le jour en 2013, une fois le projet de loi de finances validé.

  • 11 Marzo 2024
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