Migrazioni: in rapporto Lunaria razzismo, asilo e diritti nel dibattito politico | OnuItalia

Esiste una corrispondenza tra quanto emerge nei dibattiti televisi e l’attività legislativa?
Il rapporto di Lunaria, Watchdog, indaga su questa relazione.

(di Maria Novella Topi) – ROMA – L’impatto che le ondate di flussi migratori hanno sui paesi contro cui si infrangono, si può misurare in molti modi. C’è la paura dei cittadini e la disposizione all’accoglienza, ci sono i bilanci degli Stati e i risvolti sociali, ci sono le leggi dei Paesi e le fedi religiose che si incontrano o si scontrano. Ci sono gli articoli dei giornali e le carte dei Centri di accoglienza. Ma c’è anche, a misurare il grado di attenzione della classe politica, l’attività parlamentare che viene svolta su temi come immigrazione, asilo, cittadinanza, discriminazioni e .
 
Lunaria, onlus che si occupa proprio di queste tematiche, ha provato a rispondere, con un rapporto puntigliosamente documentato, a domande come: vi è corrispondenza tra gli indirizzi di dibattito pubblico, i discorsi dei rappresentanti delle istituzioni, e il loro operato in ? E ancora: cosa fa chi ha il potere di adottare provvedimenti? Perché  – è la tesi di Lunaria – l’orientamento della pubblica opinione rischia di essere fortemente condizionato più dalle rappresentazioni del dibattito politico offerte dai media, che dalla cognizione esatta dell’effettiva attività delle istituzioni.
 

 

"I bambini di Lampedusa dormono su materassi sporchi e senza coperte"

Per terra, su materassi sporchi e senza coperte: così vivono i bambini nel Centro di Primo Soccorso a Lampedusa. Terre des Hommes denuncia le condizioni inaccettabili di accoglienza dei bambini e propone sei soluzioni concrete e rapide al Governo per ristabilire il diritto umanitario.

Le condizioni di accoglienza dei bambini al Centro di Primo Soccorso di Lampedusa, denunciano gli operatori di Terre des Hommes, sono assolutamente inaccettabili. Costretti a dormire su materassi sporchi, senza lenzuola né coperte, nel freddo della notte, senza il rispetto delle più elementari norme igieniche. Ospitati per terra, come animali. Così stanno gli oltre 200 bambini (e 600 adulti) soprattutto siriani, eritrei, somali. Vivono in questo modo disumano nel Centro di Primo Soccorso di Lampedusa: uno spazio che può ospitare fino a 250 persone e oggi ne accoglie 800, fra cui anche neonati. “Le mamme ci raccontano – dice Federica Giannotta, Responsabile Advocacy di Terre des Hommes – che nel cuore della notte si svegliano per il freddo, perché i bambini non riescono a dormire e loro non sanno come fare. Se piove entra acqua nel tetto e intere stanze si allagano e, quindi, lo spazio a disposizione si riduce ulteriormente”.
via“I bambini di Lampedusa dormono su materassi sporchi e senza coperte” – Repubblica.it.

Maroc : une ONG alerte le gouvernement sur la situation des migrants

Les migrants d’Afrique subsaharienne sont victimes d’actes de racisme au Maroc, ainsi que de violences lors de leur expulsion, a affirmé jeudi l’Association marocaine des droits humains (AMDH), qui a demandé au gouvernement l’ouverture d’une enquête.
Les clandestins sont victimes “d’attaques” et de “racisme”, écrit dans un communiqué l’AMDH, principale organisation de droits de l’Homme du royaume. Elle demande au gouvernement “l’ouverture d’une enquête sérieuse sur toutes les violations commises afin de traduire les responsables en justice” L’association condamne “les vagues d’expulsion et de répression à l’encontre des migrants d’origine subsaharienne”. Selon elle, ces expulsions s’accompagnent de violences entraînant des “blessures (…) en plus des injures et autres formes d’humiliation ainsi que de la privation de soins médicaux”.
Dans son dernier rapport sur la situation à Oujda, dans l’extrême est, l’AMDH évoque une nouvelle vague d’expulsion de 35 migrants dans la nuit de mercredi à jeudi, via la frontière algérienne, et la présence de blessés dans l’hôpital de la ville et un centre tenu par Médecins sans frontières (MSF). Dans un communiqué distinct, MSF a aussi exprimé son inquiétude “au regard de la hausse des violences contre les migrants sans papiers d’origine subsaharienne dans l’est du Maroc”.
20 à 25 000 clandestins
Dans une réaction à l’AFP, le porte-parole du gouvernement, Mustapha Khalfi, a assuré être ouvert au “dialogue avec les associations” face au “défi” que représente la gestion de l’immigration clandestine. “S’il y a des cas à étudier, on les examinera dans le dialogue”, a-t-il souligné, affirmant que le gouvernement respectait ses “obligations” sur ce dossier. M. Khalfi a par ailleurs relevé que le Maroc n’était “plus seulement un pays de transit mais aussi d’accueil, ce qui a des implications sociétales”.
Rabat a multiplié ces derniers jours les expulsions d’étrangers en situation irrégulière. Généralement, ceux-ci sont renvoyés en Algérie, pays par lequel, d’après les services marocains de lutte contre l’immigration clandestine, ils transitent avant d’arriver dans le royaume. Une opération conjointe a par ailleurs été menée dans la nuit de lundi à mardi par Madrid et Rabat pour déloger plusieurs dizaines de migrants d’un îlot espagnol situé à 30 mètres des côtes marocaines.
La plupart de ces migrants ont été expulsés mercredi via l’Algérie, mais un responsable du Groupe antiraciste d’accompagnement et de défense des étrangers et des migrants (Gadem) a souligné qu’ils allaient “sans doute revenir”. Selon des associations de droits de l’Homme, entre 20.000 et 25.000 clandestins d’origine subsaharienne se trouvent actuellement au Maroc.
Lire l’article sur Jeuneafrique.com : Maroc : une ONG alerte le gouvernement sur la situation des migrants | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique

Le Maroc chasse les immigrés clandestins

(Afrik.com)
Les immigrés de l’Afrique subsaharienne ne sont plus les bienvenus au Maroc. Ces derniers temps, le Royaume chérifien, qui souhaite réguler les flux migratoires, a durci sa politique de répression des immigrés clandestins. Le député socialiste Abdelhadi Khayrate a même affirmé qu’ils représentaient un « danger » pour le Maroc.
Les immigrés y penseront à deux fois avant de se rendre au Royaume chérifien. Ces derniers temps, le Maroc a durci le ton contre les migrants en situation irrégulière qui résident sur son territoire, les contrôles sont beaucoup plus stricts aux frontières. L’objectif, limiter à tout prix les flux migratoires.
La police justifie sa politique de répression envers les immigrés, en les accusant d’être des « criminels de guerre ». Le député socialiste Abdelhadi Khayrate est même allé plus loin. En mai dernier, lors d’une séance à l’Assemblée nationale, il a été jusqu’à affirmer que les immigrés sont armés et entrainés et qu’ils représentent un danger pour le peuple marocain. De même, début juin, le journal indépendant marocain Assabah avait également créé la polémique avec un article intitulé Les immigrés africains impliqués dans des crimes de guerre. Le quotidien avait publié une enquête du gouvernement sur les immigrés résidant au Maroc et recherchés pour crimes de guerre à l’international.
« Ils subissent des traitements inhumains »
Les immigrés sénégalais, eux, affirment avoir été victimes de brimades dernièrement, selon le journal sénégalais Le Quotidien. Certains sont torturés dans les commissariats de police, d’autres rejetés à la frontière. Une traque qui se fait jusqu’à leur domicile, raconte l’un d’entre eux au journal. « Actuellement tous les Sénégalais sont menacés d’expulsion », assure-t-il. Dakar et Rabat sont pourtant des pays-amis. Cette situation pourrait bien ternir leurs relations.
Selon une enquête menée par le Conseil de la communauté marocaine de l’étranger (CCME), le nombre d’immigrés africains n’excéderait pas 10 000. Ils sont originaires du Cameroun, de Guinée, du Sénégal ou du Nigeria. Pour certains, le Royaume chérifien est un passage obligé pour se rendre en Europe. D’autres y viennent pour se réfugier ou trouver du travail.
La majorité des migrants rejoignent le Maroc via la frontière avec l’Algérie. C’est d’ailleurs à cette frontière que la police n’hésite pas à les refouler. Plusieurs immigrés de l’Afrique subsaharienne ont été reconduits à la frontière de façon brutale, dénonce l’Association marocaine des droits humains. Selon l’organisation, « ils subissent des traitements inhumains, avec des coups et des insultes à connotations racistes et discriminatoires ».

Alcuni numeri sui lavoratori stranieri in Italia

Un recente studio della Fondazione Leone Moressa che tra le sue attività svolge quella “di ricerca finalizzata allo studio delle fenomenologie e delle problematiche relative alla presenza straniera nel territorio nazionale” dopo aver messo sotto la lente d’ingrandimento le retribuzioni mensili dei dipendenti stranieri nel quarto trimestre 2011 è arrivata a delle conclusioni che rendono oggettivo ciò che è percepito da chi è attento alle problematiche del fenomeno immigratorio in Italia. Ossia che gli stranieri vengono pagati meno degli italiani. Secondo la ricerca, infatti, il lavoratore straniero percepisce in media 973 euro al mese, 316 euro in meno di un dipendente italiano, con una percentuale che vuol dire meno 24,5%. Tale differenza è meno marcata nelle “ricche” regioni settentrionali, in particolare del NordEst (Friuli Venezia Giulia, Trentino Alto Adige e Veneto). Le differenze maggiori si notano tra le dipendenti straniere che guadagnano appena 790 euro al mese, mentre non è possibile rinvenire alcun vantaggio in busta paga per gli stranieri più istruiti. I migliori salari per gli occupati del manifatturiero e nelle costruzioni; quelli più bassi per chi lavora nei settori dei servizi alle persone e alle imprese. Lo studio poi prende in considerazione il rapporto salariale tra un dipendente straniero in Italia e uno nel paese d’origine: tra le prime 5 nazionalità più rappresentate, la retribuzione annua di un lavoratore marocchino è equivalente alla ricchezza prodotta da 6 suoi connazionali in patria, 6,1 se per quanto riguarda i filippini.
Passando ad analizzare i dati per singola regione si distinguono alcune differenze più evidenti soprattutto tra Nord e Sud. Infatti, nel Settentrione gli stranieri guadagno mediamente di più rispetto a quelli che lavorano nel Mezzogiorno: basta evidenziare, a tal proposito i dati che provengono per esempio tra un immigrato che lavora in Friuli Venezia Giulia con i suoi 1.113 euro al mese e uno straniero in Calabria che ne guadagna mediamente poco più della metà attestandosi a 674 euro. Un altro dato che dovrebbe far riflettere è costituito dal gap retributivo tra dipendenti stranieri e italiani che al Sud raggiunge livelli sorprendenti: infatti se in alcune regioni settentrionali i differenziali non superano i 300 euro, in alcune regioni del Sud oltrepassano i 500 euro come accade, per esempio, in Campania.
Notevoli sono le differenze retributive per genere con una differenza di 332 euro mensili tra dipendenti stranieri di sesso maschile e femminile (1.122 euro degli uomini contro i 790 euro delle donne). Mentre i divari retributivi dei maschi rispetto alle retribuzioni dei dipendenti italiani risultano essere meno ampi: con una percentuale del 20,5% in meno per gli uomini rispetto al 30,5% delle donne. Il livello d’istruzione o il titolo di studio non influiscono sul livello salariale degli stranieri eccettuato il caso dei laureati che percepiscono mediamente 1.139 euro al mese. Infatti, le retribuzioni percepite da coloro che hanno un basso livello di istruzione (nessun titolo, licenza elementare e licenza media) non differisce di molto da quanti invece hanno il diploma superiore. Ciò che si rileva in negativo è però che più aumenta il livello di istruzione, più ampio è il divario con i dipendenti italiani con le medesime caratteristiche. Anche la tipologia contrattuale influisce sul livello salariale. I lavoratori che hanno sottoscritto contratti a tempo indeterminato ricevono mediamente poco meno di mille euro al mese, mentre coloro che sono a tempo determinato ricevono 884 euro. Nel confronto con i dipendenti italiani emerge come i gap retributivi siano però più evidenti tra i primi rispetto ai secondi. Non risultano, al contrario, grandi differenze con gli italiani se si considera il reddito di un dipendente straniero che lavora a tempo pieno (-21,8%) o a tempo parziale (-22,9%). Per quanto riguarda i settori lavorativi, i dipendenti stranieri che guadagnano di più sono quelli nei trasporti (1.257 euro); a seguire quelli del comparto della manifattura, delle costruzioni, dell’istruzione/sanità/servizi sociali e del commercio le cui retribuzioni superano i 1.000 euro mensili. Al di sotto dei 1000 euro si collocano i subordinati degli alberghi, del settore primario, dei servizi alle imprese e dei servizi alle persone (con appena 717 euro). Questi ultimi sono anche quelli che mostrano i gap retributivi più elevati rispetto ai lavoratori italiani nello stesso comparto di attività (-22,2%). L’età anagrafica non influisce significativamente sui salari. Le maggiori differenze che evidenziano una correlazione tra redditi e l’età sono quelle con i dipendenti italiani con le medesime caratteristiche: con l’aumento dell’età, si amplificano i differenziali: se nella fascia d’età 15-24 anni gli immigrati percepiscono appena il 3,9% in meno di stipendio, per gli over 55 il gap raggiunge quasi il 40%. La provenienza fornisce ulteriori dati che dovrebbero invitare a riflettere: se infatti gli africani e i cittadini comunitari sono i dipendenti che in Italia percepiscono una retribuzione mediamente più elevata, rispettivamente di 1.037 euro e di 994 euro, gli europei non comunitari, asiatici e americani sono quelli che ricevono uno stipendio inferiore. Se invece si raffrontano i dati salariali di un immigrato che lavora in Italia con quelli del loro paese di origine, si può rilevare come un filippino in Italia guadagna come 6,1 connazionali nelle Filippine, un marocchino per 6 connazionali, un ucraino per 4, un albanese per 4,7. Giovanni D’Agata, fondatore dello “Sportello dei Diritti” pur non condividendo integralmente le conclusioni dei ricercatori della Fondazione Leone Moressa che partono dal presupposto secondo cui “La disparità salariale tra stranieri e italiani non deriva esclusivamente dall’origine immigrata dei dipendenti” condivide l’epilogo della ricerca secondo cui i gap retributivi dipenderebbero da “elementi che, combinati, determinano uno svantaggio salariale: la professione ricoperta dagli stranieri, la loro bassa qualifica, l’occupazione nei settori di attività dalla più bassa produttività in cui sono impiegati, l’età giovane della manodopera, non permettono di raggiunge una sufficiente anzianità retributiva”. Gli stessi autori delle statistiche hanno infatti rilevato che il lavoro per gli stranieri è la condizione necessaria per avere e per rinnovare il permesso di soggiorno. Insomma, per Giovanni D’Agata, è lo status stesso d’immigrato non comunitario – con la normativa attualmente vigente che lega indissolubilmente la permanenza sul territorio nazionale alla sussistenza di una condizione lavorativa adeguata alle necessità reddituali minime – che comporta il rischio permanente e costante di essere sotto il ricatto del mancato ottenimento o del rinnovo del permesso di soggiorno e che quindi costringe il lavoratore ad accettare condizioni occupazionali marginali, meno tutelate e spesso sottopagate. Tali condizioni, sono peraltro acuite dall’aggravarsi della crisi economica che spinge gli stranieri a sottoporsi a condizioni contrattuali lavorative più gravose poiché difficilmente possono contare su fonti di reddito alternative al proprio abituale lavoro o sul supporto dato dalle reti familiari. Con la conseguenza, che – come hanno sottolineato i ricercatori, “tutto ciò rischia di rallentare i processi di inserimento sociale ed economico degli stranieri che lavorano e vivono nel nostro Paese”.
Per tali ragioni, Giovanni D’Agata, ritiene improrogabile una revisione della legge vigente che tenga conto della grave crisi in cui versa il Paese e rinnova l’invito, anche a costo di essere ripetitivo, del presidente della Commissione Cei per l’immigrazione e della Fondazione Migrantes monsignor Bruno Schettino secondo cui “Si potrebbe dare il permesso di soggiorno a tutti gli immigrati irregolari per un anno, in modo di farli uscire dalla clandestinità affinché possano provare a cercare lavoro in modo regolare, ad entrare nel mercato del lavoro, nell’economia della domanda e dell’offerta. Il problema vero resta infatti quello dell’immigrazione clandestina, è da lì che si generano frizioni e conflitti con italiani”, “Questa chance”, ha precisato il prelato, andrebbe data ”a tutti quelli che non hanno commesso reati, che vogliono rimanere sul nostro territorio, che conoscono un po’ la nostra lingua e la nostra Costituzione”.

Minori non accompagnati come migliorare l'accoglienza


L’Alto Commissariato delle Nazioni Unite per i Rifugiati 2 (UNHCR) ha presentato oggi a Roma i risultati del progetto transnazionale Protecting Children On The Move alla presenza di autorità e rappresentanti delle Ong partner di Grecia, Italia e Francia. Il progetto, finanziato dal Fondo Europeo per i Rifugiati della Commissione europea, presenta una serie di raccomandazioni volte a migliorare le condizioni di protezione dei minori stranieri non accompagnati che, transitando a Patrasso, Roma e Calais e diretti verso lEuropa settentrionale, spesso non usufruiscono dei meccanismi di tutela previsti dai sistemi nazionali e pertanto rimangono esposti ai rischi di violenza e abusi.
via Minori non accompagnati come migliorare l’accoglienza – Repubblica.it.

Marocco-Ue: Rabat,no ad accordo su controllo migranti

Ministro: rifiutiamo ruolo di polizia d’Europa
(ANSAmed) – RABAT, 25 LUG – ”Sulla questione migratoria, il Marocco rifiuta di essere il gendarme dell’Europa, ed è la ragione per la quale abbiamo deciso di non siglare con l’Unione Europea l’accordo relativo alla circolazione delle persone”, in quanto in esso sono presenti disposizioni che giudichiamo ”inappropriate”. Quindi, “il Marocco firmerà l’accordo quando le condizioni saranno ragionevoli”. E’ quanto dichiarato dal ministro marocchino degli Affari esteri e della cooperazione, Saad Dine El Otmani, durante il question time alla Camera dei consiglieri.
Otmani ha poi detto, scrive la genzia di stampa marocchina Map, che il dipartimento degli Affari esteri opera per sensibilizzare le ambasciate straniere accreditate in Marocco sulla necessità di migliorare le condizioni di accoglienza dei cittadini marocchini, precisando che la concessione dei visti rimane “una decisione sovrana”. Ma, ha aggiunto, osservando che davanti ai richiedenti vi siano molti ostacoli e ricordando che il suo ministero dedica un’attenzione particolare alle necessità della comunità marocchina residente all’estero. (ANSAmed).

Dreamwork China

Dreamwork China, ovvero sogni e diritti di una nuova generazione nella fabbrica del mondo.
Intorno all’area metropolitana di Shenzhen, nella provincia meridionale del Guangdong, giovani lavoratori parlano delle proprie vite, esistenze precariamente in equilibrio tra aspettative, difficoltà e desideri per il futuro. Intorno a loro, attivisti e organizzazioni indipendenti si impegnano per dare peso e sostanza a parole come diritti, dignità, uguaglianza.
Il corto è un estratto dal documentario integrale (55 minuti), scritto e diretto da Tommaso Facchin e Ivan Franceschini.
Il video è prodotto da ISCOS Cisl.
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